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L’imprimerie génère forcément des déchets, mais chez AP Saint-Dié, on préfère les transformer plutôt que les jeter. Les équipes ont mis en place des solutions simples et efficaces pour réduire leur impact et valoriser un maximum de matériaux. Recyclage, tri, réutilisation : ils avancent à leur échelle, avec des actions qui font la différence au quotidien.

💪 Concrètement, qu’est-ce qu’ils font ?

♻️ Et leurs déchets, qu’est-ce qu’ils deviennent ?

>> Quelques chiffres

Sur une année ce sont plusieurs centaines de tonnes de papier qui sont transformés en ouate de cellulose pour le BTP.

En 2024, ils ont permis le recyclage de plus d’une tonne de plaque offset, soit un peu plus de 500 vélos.

🌱 Imprimer, oui. Mais pas n’importe comment.

Matthieu Tack, responsable d’exploitation chez AP Saint-Dié : «Les imprimeries ont longtemps étaient perçues comme des entreprises polluantes, mais chez AP nous travaillons à minimiser notre impact environnemental. Et les résultats sont là : nos déchets sont tous recyclés, nos encres sont végétales, notre papier est issu de filière à gestion durable, notre consommation d’énergie est maitrisée et continuons à travailler dans ce sens pour une réduction continue de notre empreinte écologique. »

Et au niveau groupe, les mêmes ambitions !

En tant que producteurs d’emballages multi-produits (flexibles, carton, étiquettes adhésives et sèches et IML), notre objectif est de systématiquement réduire l’emprunte carbone de nos sites en prenant en compte la spécificité de chaque métier.
Par exemple, en plus de valoriser nos déchets de gâche, nos usines Flexibles ont intégré directement ans leurs lignes de production la revalorisation des composés organiques volatils (COV) émis lors du procédé d’impression. Chaque année, ça équivaut à 200 Tonnes de solvants économisés par site par an !